La vidéosurveillance algorithmique, promue comme l’avenir de la sécurité publique, voit sa trajectoire fragilisée. Un amendement adopté à l’Assemblée nationale vient tailler dans ses budgets. Simple rééquilibrage ou début d’un recul politique ?
8 millions d’euros en moins pour la vidéosurveillance algorithmique : un signal politique fort
💸 Un amendement adopté à l’Assemblée nationale réduit de 8 millions € les crédits alloués à la vidéosurveillance algorithmique. Un choix budgétaire qui interroge : frein provisoire ou tournant politique dans la stratégie de sécurité numérique de l’État ? 🏛️📹
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Commission d’expertise du CNAPS : l’UMS entre enfin dans le jeu
📜 L’UMS fait enfin son entrée dans la commission d’expertise du CNAPS 🤝. Un arrêté signé le jour même de ma publication sur le sujet ! 🕵️♂️ Mais une nomination intrigue : François Daoust, désigné pour le transport de fonds 💰, sans expérience visible dans ce domaine.
Quand la prévention sauve : 900 000 € évités grâce (notamment) à un agent de sécurité
👮♂️💼 Un agent de sécurité, ce n’est pas qu’une présence rassurante : c’est aussi un bouclier juridique pour l’entreprise. Bien intégré dans la prévention des risques, il peut éviter des drames humains… et économiser jusqu’à 900 000 € en cas de contentieux ⚖️💰
CNTO d’INDIGO : assistance, supervision… ou télésurveillance déguisée ?
🔍 INDIGO brouille les lignes entre assistance et sécurité ! Son CNTO, présenté comme un centre d’aide client, emploie pourtant des agents SSIAP chargés de vidéosurveillance, alarmes et sécurité 24h/24. Une activité proche de la télésurveillance… mais sans autorisation CNAPS. ⚠️
🔎 Rétrospective de la semaine : la sécurité privée entre réformes, numérique et enjeux internationaux
🗞️ Retour sur une semaine intense pour la sécurité privée : réformes, innovations et débats autour du CNAPS 👮♂️🤖. De l’ONU à la formation des policiers municipaux, en passant par la cynophilie et la vidéosurveillance, le secteur bouge vite… et fort 💼⚖️.