Un agent de sécurité mis en cause pour son comportement. Une entreprise qui choisit de le déplacer plutôt que de sanctionner. Et un salarié qui refuse cette nouvelle affectation, arguant de ses droits.
Ce scénario, en apparence classique, pose pourtant des questions de fond : la réaffectation décidée dans un souci d’apaisement peut-elle être imposée sans l’accord du salarié ? À partir de quand un refus devient-il une faute grave ? Et que vaut réellement une clause de mobilité dans la pratique du secteur ?