La ville de Nice semble exiger l’impossible de ses prestataires de sécurité pour la sécurité du palais Nikaïa . Entre modifications de bons de commande jusqu’à deux heures avant un événement et la nécessité de mobiliser des effectifs, les contraintes contractuelles deviennent intenables.
Ces conditions, pensées comme si la sécurité privée fonctionnait sur un modèle purement technique, oublient qu’il s'agit de gestion humaine : recrutement, disponibilité, contraintes légales et salaires attractifs. Comment les entreprises peuvent-elles survivre à de telles pressions sans exploser leurs coûts ou multiplier les défaillances ? Découvrez comment ces exigences poussent les prestataires à la rupture.

Ce message est pour les abonnés sur le 💡EXPERT tier
S’abonnerVous avez déjà un compte? S'identifier