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Révocation suspendue d’un ASVP : quand le droit de se taire est ignoré, la procédure s’écroule

⚖️ Droit de se taire ignoré, révocation suspendue : quand l’administration oublie les règles du jeu disciplinaire, c’est toute la procédure qui vacille. Un rappel utile pour DRH, DGS et encadrants territoriaux. 🧾👮‍♂️📉

Peut-on révoquer un agent sans lui rappeler son droit de se taire ?

Dans le tumulte des procédures disciplinaires, un détail peut faire s'effondrer toute la mécanique : l'oubli d’un droit fondamental. Ce droit, souvent méconnu, pourtant incontournable, conditionne la validité de toute sanction à caractère punitif. Et lorsqu’il est négligé, ce ne sont plus les fautes de l’agent qui sont jugées, mais les erreurs de l’administration elle-même.
Dans une affaire récente impliquant un agent de surveillance de la voie publique, c’est justement ce point qui a fait basculer l’équilibre.

Une erreur procédurale impardonnable : le droit de se taire oublié

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