Un spray de défense de type lacrymogène glissée à la ceinture. Un tazer dissimulé dans la poche. Sur le papier, cet agent de sécurité n'était pas autorisé à être armé. Et pourtant, sur son site, il circulait équipé — comme s’il en avait le droit, comme si cela allait de soi.
Mais dans la sécurité privée, les apparences peuvent coûter cher. Car derrière chaque matériel interdit, il y a des règles strictes, des responsabilités engageantes… et parfois, des conséquences irréversibles.
Pourquoi ces armes sont-elles interdites ? Que risque un agent qui franchit la ligne ? Et que doit faire un employeur confronté à ce type de dérive ? Décryptage sans détour.