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Sécurité privée : quand l’équipement devient une faute grave

🔒 Un tazer, une bombe lacrymogène... sans autorisation, ça coûte cher. 🚫 Dans la sécurité privée, s’équiper hors cadre légal peut mener droit au licenciement. ⚖️ Retour sur une affaire où l’arme est devenue la faute.

Un spray de défense de type lacrymogène glissée à la ceinture. Un tazer dissimulé dans la poche. Sur le papier, cet agent de sécurité n'était pas autorisé à être armé. Et pourtant, sur son site, il circulait équipé — comme s’il en avait le droit, comme si cela allait de soi.

Mais dans la sécurité privée, les apparences peuvent coûter cher. Car derrière chaque matériel interdit, il y a des règles strictes, des responsabilités engageantes… et parfois, des conséquences irréversibles.

Pourquoi ces armes sont-elles interdites ? Que risque un agent qui franchit la ligne ? Et que doit faire un employeur confronté à ce type de dérive ? Décryptage sans détour.

Arme interdite : quand l'agent de sécurité franchit la ligne rouge

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