Dans une décision sèche et implacable, le Tribunal administratif fédéral suisse a confirmé le bien-fondé d'une mesure de surveillance prise à l’encontre d’un agent de sécurité travaillant dans une mosquée genevoise. Le Service de renseignement de la Confédération (SRC) n’a pas eu besoin d’attendre la commission d’un crime pour agir : des indices sérieux de radicalisation ont suffi.
Une affaire qui doit faire réfléchir toutes les entreprises de sécurité privée engagées sur des sites sensibles.