Un an d’interdiction d’exercer. C’est la sanction qui frappe un dirigeant d’entreprise de sécurité privée après un contrôle du CNAPS ayant mis en évidence une gestion administrative défaillante, des irrégularités dans la sous-traitance et des manquements en matière de sécurité.
Mais cette affaire soulève des questions : la sanction est-elle proportionnée aux faits reprochés ? Les responsabilités sont-elles justement réparties ? Entre erreurs de gestion, obligations réglementaires strictes et réalités du terrain, cette décision s’inscrit dans un contexte où les contrôles du CNAPS sont de plus en plus exigeants.
Décryptage d’un dossier où les limites de la tolérance administrative et la responsabilité d’un chef d’entreprise de sécurité privée sont mises à l’épreuve.
Sanction du CNAPS confirmée : Une décision sévère face à des manquements administratifs et organisationnels
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