Aller au contenu

Surdité professionnelle : l’agent de sûreté aéroportuaire perd son dossier pour trois jours manquants

👂💥 Exposé au vacarme quotidien des moteurs et des pistes, un agent de sûreté aéroportuaire pensait faire reconnaître sa surdité comme maladie professionnelle. Mais trois jours sans bruit non respectés ont suffi à faire tomber tout son dossier. Trois jours… et tout s’arrête.

Sur les pistes, le vacarme est constant. Moteurs, alarmes, engins de manutention : tout vibre, tout résonne. Pour les agents de sûreté aéroportuaire, c’est le prix du poste. Mais quand le corps lâche et que l’audition s’efface, encore faut-il que la loi suive. Et parfois, il suffit de trois jours oubliés pour que tout s’écroule. Trois jours de silence exigés par le code, rarement expliqués, presque jamais respectés. Pourtant, sans eux, aucune surdité ne sera jamais reconnue professionnelle.

.

Cet article est réservé aux abonnés 💡EXPERT tier

S’abonner

Vous avez déjà un compte? S'identifier

Dernier

Politique de confidentialité Politique relative aux Cookies Conditions Générales