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Villiers-sur-Marne : le procès des agents du GPIS renvoyé en mars

🔎 Villiers-sur-Marne : Le procès de 2 agents du GPIS, accusés de violences sur un habitant, est reporté à mars 📅. L'affaire a entraîné des tensions locales et la suspension du dispositif en banlieue parisienne 🚨. Les agents contestent les faits. ⚖️ #Sécurité #Cnaps #SécuritéPrivée

Image d'illustration

Table des matières

Le procès de deux agents du Groupement Parisien Interbailleurs de Surveillance (GPIS), initialement prévu le 18 décembre 2024 au tribunal correctionnel de Créteil, a été renvoyé en mars prochain.

Résumé flash

  • Contexte : Les deux agents sont accusés de violences aggravées sur un habitant du quartier des Hautes-Noues, à Villiers-sur-Marne, en juillet 2024.
  • Les faits :
    • La nuit du 25 au 26 juillet a été marquée par des altercations entre des patrouilles du GPIS et plusieurs individus.
    • Un jeune homme a été hospitalisé dans le coma après un accrochage avec quatre agents (aucune poursuite engagée à ce sujet).
    • Un autre jeune homme, âgé de 25 ans, aurait été frappé par deux agents, entraînant une ITT de moins de 8 jours.
  • Conséquences locales :
    • Les tensions dans le quartier ont conduit à la suspension des patrouilles GPIS à Villiers-sur-Marne et Champigny-sur-Marne.
    • En décembre, les bailleurs sociaux ont décidé de ne pas renouveler ce dispositif en banlieue parisienne.
  • À venir : Les agents maintiennent leur innocence et invoquent l'article 73 du Code de procédure pénale (droit d'appréhender une personne en flagrant délit).

Réflexions

  1. Gestion des tensions :
    Le retrait des patrouilles GPIS montre la difficulté d'équilibrer la sécurité et l'apaisement des relations avec les habitants.
  2. Expérimentation du GPIS :
    Si ce dispositif est maintenu à Paris, son échec en banlieue souligne les défis d'une approche uniforme dans des contextes différents.

La suite du procès en mars apportera des éclairages sur la responsabilité des agents et l'efficacité des mesures en place.

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