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Commission européenne : un agent de protection rapprochée armé refuse d’être écarté

Un agent de protection rapprochée armé, longtemps affecté auprès de vice-présidents européens, se retrouve isolé après deux incidents liés à des tests PCR. Malgré une victoire judiciaire, Bruxelles l’écarte encore. Le bras de fer reprend. ⚖️🛡️💼

Il a protégé des vice-présidents de la Commission européenne. Il portait une arme. Il a gagné son procès contre son employeur en 2024. Pourtant, aujourd'hui, cet agent de sécurité rapprochée se retrouve seul, écarté, tandis que tous ses collègues ont été maintenus en poste. L'homme vient d'engager un nouveau bras de fer judiciaire contre Bruxelles. Une affaire qui dépasse le simple litige contractuel. Elle pose une question fondamentale : que vaut une victoire en justice si l'administration refuse d'en tirer les conséquences ?

Deux tests PCR qui ont fait basculer une carrière

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