Table des matières
L’agent de sécurité, toujours en arrêt, parlera d’acharnement sur sa personne. Blessé, il a une fracture du nez, six dents cassées et un déboîtement de l’épaule. Pour le procureur : « la personne est au sol, vous pouvez partir, mais non, vous la rouez de coups. »
Pour sa défense, Hamid Cocq explique que « l’alcool (consommé) à beaucoup joué. » Il reconnaît avoir donné quatre ou cinq coups de poing, mais nie avoir frappé l’agent au sol avec ses pieds. « Il s’est vu mourir, lâche l’avocate de l’agent de sécurité. Les coups portés étaient d’une extrême violence. »
Sous contrôle judiciaire au moment des faits, le casier du jeune lensois témoigne de cinq mentions pour vols et violences. Il était suivi par le juge pour enfants. Le procureur requiert 16 mois de prison dont trois avec sursis et la révocation d’un mois de sursis. Il ne sera pas suivi par le tribunal. Hamid Cocq a été condamné à dix mois de prison dont six avec sursis, et la révocation du mois de sursis. Il devra verser la somme de 1 722 euros à l’enseigne, et 3 000 euros à la victime.
Lens : l’instant où l’agent de sécurité du Simply a cru sa dernière heure arrivée
I l m’a pris par le cou, m’a frappé. J’ai perdu connaissance et il m’a fini au sol, il voulait me tuer “, déclare l’agent de sécurité à la barre du tribunal de Béthune vendredi 20 janvier. Ha…
http://www.lavenirdelartois.fr/lens/lens-l-instant-ou-l-agent-de-securite-du-simply-a-ia696b0n196502