Aller au contenu

Le conflit entre Protect Security et le SCO d'Angers : Une analyse juridique et commerciale

Analyse de la bataille juridique entre Protect Security et le SCO d’Angers suite à une rupture de contrat. Évaluation des implications juridiques et commerciales, et impact sur le secteur de la sécurité et le monde sportif.

Dans le monde complexe des affaires et du sport, la rupture des relations commerciales peut avoir des conséquences importantes, comme l'illustre le cas récent opposant Protect Security et le club de football d’Angers-SCO. Cette affaire soulève des questions pertinentes sur les procédures judiciaires en matière de rupture de contrat et les défis auxquels les entreprises de sécurité privée sont confrontées.

Contexte du conflit

Protect Security, dirigée par Laurent Choiseau, a été le partenaire de sécurité du SCO d’Angers jusqu'en 2020. Après une rupture jugée brutale de cette collaboration, Protect Security, actuellement en redressement judiciaire, a décidé d'attaquer le club en justice. Ce genre de litige est relativement courant dans les relations commerciales, mais il prend une dimension particulière dans le contexte sportif, où la sécurité est un enjeu majeur.

Aspects juridiques

Cet article est réservé aux abonnements payants

S’abonner

Vous avez déjà un compte? S'identifier

Dernier

ERP du 1er groupe : 6 233 avis défavorables en un an, les SSIAP en première ligne

ERP du 1er groupe : 6 233 avis défavorables en un an, les SSIAP en première ligne

50 829 ERP contrôlés, 6 233 avis défavorables, 15 minutes avant l’arrivée des secours 🚒⏱️ Ces chiffres ne sont pas abstraits. Ils décrivent le quotidien des SSIAP en ERP et IGH. Ce que les statistiques des SDIS imposent vraiment aux agents sur le terrain, avant toute intervention des secours 🔥🏢📊

Membres Publique
Marché de Noël de Metz : quand la sécurité privée armée (en catégorie B !) reste sur le papier

Marché de Noël de Metz : quand la sécurité privée armée (en catégorie B !) reste sur le papier

🎄🔍 Marché de Noël de Metz : un appel d’offres à près de 500 000 € prévoyait des agents de sécurité armés. Sur le terrain, aucun. Co-traitance, option non activée, autorisation préfectorale absente… 📄⚖️ Entre cahier des charges et réalité opérationnelle, où la chaîne s’est-elle rompue ? 👮‍♂️❓

Membres Publique
Politique de confidentialité Politique relative aux Cookies Conditions Générales