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Quand le CNAPS de Bordeaux est dans l'illégalité et empêche une embauche ! [Edit - Mise à jour 08/07]

Table des matières

C’est l’histoire de mr X.  qui postule à un emploi très intéressant dans une centrale de télésurveillance pour être opérateur en télésurveillance.

Monsieur X. présente sa carte professionnelle du CNAPS avec comme mention” Surveillance humaine ou électronique” valide jusqu’en janvier 2023 

Oui, Monsieur X a de la chance, il a renouvelé sa carte professionnelle juste avant la scission des activités “surveillance humaine” et “surveillance électronique”(sous entendu télésurveillance) sur une carte  – VOIR MON ARTICLE A CE SUJET

Etape 1:

Son “futur employeur” indique le 24 juin 2020 qu’il ne peut pas l’embaucher, car maintenant il existe une carte professionnelle dédiée, et qui se nomme “Agent de télésurveillance”.
Monsieur X, étonné, indique que sa carte professionnelle est encore valide jusqu’au 30/01/2023, et qu’il a une carte professionnelle antérieure à la décision du CNAPS de scinder les deux activités “surveillance humaine” et “télésurveillance”  .
Son “futur employeur” ne comprend pas, et indique à Monsieur X qu’un “écrit” du CNAPS est indispensable pour “valider” son embauche, car sa carte professionnelle est “litigieuse”.

Etape 2:

Monsieur X envoie un mail le soir même (24/06), au CNAPS de Bordeaux pour demander si sa carte professionnelle “surveillance humaine ou électronique” est valide ou non pour assurer un poste en télésurveillance.

Etape 3:

Jeudi 25 juin la réponse écrite du CNAPS: Non votre carte pro ne permet pas de travailler en télésurveillance

 

 

 

Etape 4:

Jeudi 25 juin : Monsieur X dans la journée appelle 3 fois le Cnaps et les opérateurs indiquent qu’il peut bien travailler en télésurveillance, et qu’ils ne comprennent pas le mail qu’il a reçu.
Entre-temps renvoi un mail pour demander des explications

 

Etape 5:

Vendredi 26 juin : Confirmation par écrit du CNAPS de Bordeaux qu’il ne peut pas travailler en télésurveillance

 

Etape 6:

Vendredi 26 juin : Monsieur X appel plusieurs fois le CNAPS pour avoir des explications entre les écrits et les paroles du CNAPS.
Monsieur X envoie un mail, en menaçant de saisir la justice si un responsable du CNAPS de Bordeaux ne le rappel pas.

Etape 7:

Vendredi 26 juin : Rappel d’un responsable de la délégation du CNAPS de Bordeaux
Ce responsable du CNAPS confirme que c’est bon, avec sa carte “surveillance humaine ou électronique”, il peut bien travailler en télésurveillance, mais qu’ils ne veulent pas  le dire par écrit

Résultat : Le CNAPS confirme que c’est bon, mais toujours par la preuve écrite, qui permettrait à l’employeur de valider l’embauche de Monsieur X.

BILAN

À ce jour, Monsieur X, ne peut toujours pas être embauché par la société de télésurveillance, car le CNAPS ne veut faire aucun écrit validant que sa carte professionnelle “surveillance humaine ou électronique” est valide pour un poste en opérateur en télésurveillance.

 

Etape 8 (FIN):

Suite à la parution de l’article:

Le CNAPS de Bordeaux à enfin accepté de l’écrire : Oui, Monsieur X peut bien travailler en télésurveillance avec sa carte professionnelle ” Surveillance humaine ou électronique”

 

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