Combien faut-il d’agents de sécurité pour protéger réellement un personnel exposé ?
Deux, trois, dix ? Et à partir de quand considère-t-on que le dispositif est suffisant ? Ce n’est pas qu’une question de chiffres. C’est une question de présence, de réaction, de prévention — et de responsabilité.
Dans certains secteurs, on préfère cocher des cases plutôt que d’affronter la réalité du terrain. Mais quand un incident éclate, que les alertes ont été ignorées, et que la violence frappe… plus personne ne peut dire : « on ne savait pas ».