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Le juge d’instruction estime que l’agression dont la victime a été la cible peu de temps avant sa mort a causé un “choc émotif” qui l’a poussé à mettre fin à ses jours.
La décision pourrait faire jurisprudence. La cour d’appel de Paris examine mercredi 26 février le cas de quatre personnes soupçonnées d’avoir provoqué la mort d’un vigile par des “pressions psychologiques”. Les suspects ont été renvoyés aux assises par un juge d’instruction de Bobigny (Seine-Saint-Denis), indique RTL.
Les faits remontent à mars 2010. Un vigile d’un magasin de bricolage de Bobigny est retrouvé mort noyé dans le canal de l’Ourcq. L’enquête révèle que quatre hommes l’avaient agressé un peu plus tôt pour une “banale histoire d’achat de pot de peinture et de pinceau, au moment où le magasin fermait ses portes”, selon la radio.