L’école française vacille face à la violence. Trois agressions au couteau en moins de six mois - Nantes, Nogent, Benfeld - ont rappelé que les établissements ne sont pas épargnés par la brutalité du quotidien. Pourtant, à la rentrée 2025, aucune mesure forte n’a été mise en place. Pas de portiques, pas de plan d’ensemble, pas de formation spécifique.
C’est dans ce contexte que le député Julien Rancoule (RN) a posé une question écrite à la ministre de l’Éducation nationale, le 30 septembre 2025. Derrière l’interpellation, une idée fait grincer : et si l’école devait assumer le recours à la sécurité privée ?