Peut-on se contenter de fermer les portes d’un magasin à clé, ou faut-il aller plus loin et installer des barres anti-effraction sur chaque issue de secours ? La question, en apparence technique, cache en réalité un enjeu juridique et financier colossal. Entre assurances, responsabilité civile et sécurité des locaux, le moindre détail peut faire basculer un commerçant du côté des victimes… ou des responsables.
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