Au cœur de la forêt guyanaise, là où l’or attire autant qu’il expose, une entreprise de sécurité privée, Amazone Protection Fédérale, a obtenue une autorisation préfectorale hors norme : celle de déployer des agents armés pour protéger une exploitation minière isolée, loin de toute intervention rapide des forces publiques.
Derrière cette décision administrative se cache une réalité brutale, faite de convoitises, de violences armées et de prises d’otages. Un terrain extrême où le droit, la sécurité privée et la survie humaine se croisent. Pourquoi l’État a-t-il considéré que le risque justifiait une telle mesure ? Et que dit ce cas très concret de l’évolution silencieuse de la surveillance armée en Guyane ?