Un salarié termine son service, se change, passe aux toilettes. Ce qui aurait dû être un simple geste de fin de poste devient le début d’un drame. Deux jours plus tard, il est retrouvé sans vie, à quelques mètres de ses collègues. Personne ne s’est inquiété.
Derrière ce fait tragique, une réalité dérangeante : des rondes de fermeture parfois bâclées, des vérifications trop rapides, et une responsabilité que certains refusent d’assumer. Pourtant, en sécurité privée, un oubli peut coûter une vie.
Alors que s’est-il réellement passé ?