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Surveiller un agent de sécurité via un détective privé : une faute déontologique ?

Un associé placé sous surveillance discrète par un détective privé 🔍. Loyauté brisée, règles déontologiques ignorées ⚖️. Ce cas secoue notre secteur et pose une question directe : jusqu’où peut aller la surveillance interne entre acteurs de la sécurité privée ? 👁️‍🗨️

Surveiller un associé, un confrère ou même un salarié via un détective privé. Beaucoup y pensent, certains le font, et notre secteur n’échappe pas à ces dérives. Derrière ces pratiques se joue pourtant un point sensible : la loyauté entre acteurs de la sécurité privée. Une valeur que nos textes encadrent et que certains oublient trop vite.
Quand une entreprise décide de placer l’un des siens sous observation discrète, les frontières déontologiques se brouillent, et les conséquences dépassent souvent la seule relation professionnelle.
Cette affaire soulève une question centrale : jusqu’où peut aller la surveillance interne dans un secteur déjà soumis à un contrôle strict du CNAPS et à un code de déontologie exigeant ?
Le dossier montre à quel point la ligne rouge peut être franchie sans même que les protagonistes s’en rendent compte. Et rappelle que la surveillance dissimulée n’est jamais un simple outil de gestion. C’est un acte qui engage. Et qui expose.

Surveiller via un détective privé : une faute déontologique qui interroge notre secteur ?

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