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Verra-t-on disparaître le 15, le 17 et le 18 au profit d’un numéro unique d’urgences ? C’est ce qui semble ressortir du rapport interministériel que s’est procuré Hospimedia. Déposé mi-octobre avenue de Ségur et place Beauvau, ce document cosigné par les inspections générales des affaires sociales (IGAS) et de l’administration (IGA), donne quatre scénarios pour moderniser et clarifier un service public français de prise en charge des appels d’urgence « construit au fil du temps et sans conception d’ensemble ».
Et celui qui semble séduire le plus les inspecteurs consiste à généraliser le 112, concrétisant ainsi le fameux numéro unique qui divise tant les représentants du secteur.