Les agents de sécurité sont souvent confrontés à des situations où la frontière entre protection et violence est mince. Lorsqu’une intervention dégénère, les conséquences peuvent être lourdes, tant sur le plan professionnel que judiciaire. Comment la législation encadre-t-elle l’usage des moyens de défense comme un spray de défense lacrymogène, et jusqu’où un agent peut-il aller pour se protéger sans risquer sa carrière ?
Une récente décision de justice relance le débat sur les responsabilités et les limites de cette profession. Décryptage complet dans l’article.
Les faits : un usage contesté du spray de défense lacrymogène
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