La piraterie ouest-africaine coûte cher à Genève

Le nombre d’attaques dans le golfe de Guinée explose. Souvent, le pétrole appartient à des entreprises du bout du lac.

 

Le nombre d’attaques de pirates dans le golfe de Guinée explose. L’an dernier, 52 navires ont été touchés contre 39 l’année précédente. En 2013, on en est déjà à 31, selon le Bureau maritime international (BMI). L’Office de l’intelligence navale américaine a recensé huit abordages entre le 5 et le 19 juillet dans la région.

 

Ces chiffres sont sous-estimés, selon la société de Chambésy spécialisée dans la sécurité maritime Security Overseas Services Ltd (SOS). «Tout n’est pas compté. Rien qu’au large du Nigeria, il y a en moyenne deux attaques réussies par semaine», lance Olivier Philippe, responsable du bureau SOS au Togo. Le terrain de chasse grandit: le 15 juillet, un cargo a été arraisonné à la hauteur de Port-Gentil, au large du Gabon. Jamais les flibustiers modernes n’étaient allés autant au sud.

 

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