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Le haut-commissariat en Polynésie française s’engage pour le développement de la vidéoprotection
Le haut-commissariat, en lien étroit avec la Police et la Gendarmerie nationales, a conduit une opération de communication pour promouvoir la vidéoprotection et rappeler les conditions réglementaires de son déploiement par les opérateurs publics ou privés.
Depuis deux ans, la vidéoprotection connaît un développement significatif en Polynésie française. La présence de caméras dans les lieux ouverts au public est bien acceptée par la population, et les commerçants ont compris tout l’intérêt de cet outil pour prévenir les actes de délinquance.
La campagne de communication rappelait que, si la présence de caméras dans les lieux ouverts au public est un outil particulièrement dissuasif – identification et interpellation des auteurs d’infractions, sécurisation des procédures judiciaires –, leur utilisation n’en demeure pas moins conditionnée, dans le respect des libertés individuelles, à une autorisation préalable du haut-commissaire de la République, après avis d’une commission consultative. En complément, une réunion avec les installateurs de caméras a été organisée le 11 août, afin de les sensibiliser et d’en faire des relais d’information auprès de leurs clients.
Cette action de communication, inédite en Polynésie française, a reçu un écho très favorable, comme en témoignent les nombreuses demandes d’informations pratiques des commerçants. Afin de faciliter leurs démarches, l’ensemble des informations et pièces à fournir pour constituer des dossiers ont été mis en ligne sur le site Internet du haut-commissariat (www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/ – Rubrique « Démarches locales » puis « Autorisation vidéoprotection »).
Le concours des référents sûreté de la police et de la gendarmerie est également proposé aux commerçants à titre de conseil pour accroître l’efficacité préventive de leurs dispositifs. Les installateurs se sont aussi fait les relais, à travers ce partenariat avec les services de l’État, de l’intérêt et des besoins croissants des communes de s’équiper.
La publication prochaine des décrets d’application de la LOPPSI 2 rendra la Polynésie française éligible au fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD). Ce cadre juridique permettra d’accroître encore le développement de la vidéoprotection, en apportant aux communes le concours financier de l’État pour la mise en oeuvre de nouveaux dispositifs et le raccordement de systèmes existants aux unités territoriales de police et gendarmerie.
Source : Magazine Civique décembre 2011
Le haut-commissariat, en lien étroit avec la Police et la Gendarmerie nationales, a conduit une opération de communication pour promouvoir la vidéoprotection et rappeler les conditions réglementaires de son déploiement par les opérateurs publics ou privés.
Depuis deux ans, la vidéoprotection connaît un développement significatif en Polynésie française. La présence de caméras dans les lieux ouverts au public est bien acceptée par la population, et les commerçants ont compris tout l’intérêt de cet outil pour prévenir les actes de délinquance.
La campagne de communication rappelait que, si la présence de caméras dans les lieux ouverts au public est un outil particulièrement dissuasif – identification et interpellation des auteurs d’infractions, sécurisation des procédures judiciaires –, leur utilisation n’en demeure pas moins conditionnée, dans le respect des libertés individuelles, à une autorisation préalable du haut-commissaire de la République, après avis d’une commission consultative. En complément, une réunion avec les installateurs de caméras a été organisée le 11 août, afin de les sensibiliser et d’en faire des relais d’information auprès de leurs clients.
Cette action de communication, inédite en Polynésie française, a reçu un écho très favorable, comme en témoignent les nombreuses demandes d’informations pratiques des commerçants. Afin de faciliter leurs démarches, l’ensemble des informations et pièces à fournir pour constituer des dossiers ont été mis en ligne sur le site Internet du haut-commissariat (www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/ – Rubrique « Démarches locales » puis « Autorisation vidéoprotection »).
Le concours des référents sûreté de la police et de la gendarmerie est également proposé aux commerçants à titre de conseil pour accroître l’efficacité préventive de leurs dispositifs. Les installateurs se sont aussi fait les relais, à travers ce partenariat avec les services de l’État, de l’intérêt et des besoins croissants des communes de s’équiper.
La publication prochaine des décrets d’application de la LOPPSI 2 rendra la Polynésie française éligible au fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD). Ce cadre juridique permettra d’accroître encore le développement de la vidéoprotection, en apportant aux communes le concours financier de l’État pour la mise en oeuvre de nouveaux dispositifs et le raccordement de systèmes existants aux unités territoriales de police et gendarmerie.
Source : Magazine Civique décembre 2011