Un badge rendu, une heure notée, une ligne de plus au registre du poste de sécurité.
Sur les sites classés SEVESO (et bien d'autres), ces journaux d’accès - papier ou informatiques - sont tenus pour la sûreté. Mais peuvent-ils aussi servir de pointeuse pour sanctionner un salarié ?
Mais où commence la frontière entre contrôle d’accès et suivi du temps de travail ?