ArcelorMittal Méditerranée pensait sans doute maîtriser son dispositif interne de sécurité, avec ses 25 agents. Sur un site aussi sensible que Fos-sur-Mer, où chaque incident peut avoir des conséquences industrielles majeures, l’entreprise a fait le choix d’un service interne.
Mais un contrôle du CNAPS a mis au jour une réalité beaucoup moins lisse.
Derrière ces constats, c’est toute la question de la conformité des services internes de sécurité qui refait surface. Et les suites de ce dossier ont surpris plus d’un acteur du secteur.