La demande explose 📈 : 88% des Français soutiennent la vidéoprotection pour faire face aux incivilités, dépôts sauvages et dégradations 🗑️. Les citoyens veulent plus de caméras 📹 et attendent des maires des actions rapides pour protéger leur cadre de vie 🏙️.
Technicien condamné mais impossible à licencier 😮💨 Une affaire qui révèle un vide juridique : poser alarmes et caméras n’entre pas dans le Livre VI du CSI. Sans attestation ni carte CNAPS, aucune obligation de moralité. Un dossier qui montre l’urgence d’un vrai statut pour les techniciens 🔐📡
🔍 INDIGO brouille les lignes entre assistance et sécurité ! Son CNTO, présenté comme un centre d’aide client, emploie pourtant des agents SSIAP chargés de vidéosurveillance, alarmes et sécurité 24h/24. Une activité proche de la télésurveillance… mais sans autorisation CNAPS. ⚠️
💸 Un amendement adopté à l’Assemblée nationale réduit de 8 millions € les crédits alloués à la vidéosurveillance algorithmique. Un choix budgétaire qui interroge : frein provisoire ou tournant politique dans la stratégie de sécurité numérique de l’État ? 🏛️📹
📹⏳ Trente jours, pas un de plus ! Pour une vidéoprotection, une image gardée trop longtemps devient une preuve morte. Autorisation, durée, procédure judiciaire... quand le temps fait tomber la légalité, même la meilleure vidéo ne vaut plus rien.
📸 Sur le site d’Eurotunnel, dix agents de sécurité assuraient la surveillance vidéo. Mais leurs cartes professionnelles ont soulevé une question sensible : quelle mention autorise réellement l’activité de vidéoprotection ? 🤔 Le débat reste ouvert.
📹 Caméras installées mais non autorisées : un commerce de l’Hérault se retrouve fermé trois mois. La loi est claire : sans autorisation préfectorale, même une caméra “débranchée” peut valoir sanction. Quand la sécurité franchit la ligne rouge administrative… ⚖️
Nouvelle étude montre qu’on peut tromper la reconnaissance faciale avec un maquillage ciblé et des PNG « alpha » : visibles pour l’œil, invisibles pour les algos. 🔍👁️🗨️🛡️
🔍 Depuis mai 2025, la CNIL a prononcé 16 sanctions pour 108 000 € d’amendes. En cause : des dispositifs de vidéosurveillance abusifs dans des hôpitaux et écoles 🎥⚖️. Filmer un local syndical ou des élèves ? 🚫 Une atteinte claire à la vie privée selon le RGPD.
📸 Vidéoprotection et carte pro : le CNAPS vient de s’exprimer. Rappel simple ou sanction ferme ? 🤔 Les entreprises de sécurité doivent-elles revoir leurs pratiques dès maintenant ?
🚨 La CNIL sanctionne la Samaritaine : 100 000 € d’amende pour des caméras cachées 🎥🔴 camouflées en détecteurs de fumée et équipées de micros. Un rappel sévère : filmer ses salariés en secret reste une pratique risquée, bien au-delà du seul coût financier.
La Cour de cassation ouvre la voie à l’usage judiciaire des algorithmes de vidéoprotection 🔍🚓. Un signal fort pour la sécurité, mais une alerte pour nos libertés individuelles 🛑.
📹 Deux caméras mal posées, 🚫 trois mois de fermeture. La justice valide : filmer un lieu ouvert au public sans autorisation, c’est non. ⚖️ Une décision qui rappelle à tous les pros que la vidéoprotection, c’est du sérieux.
🎥 Une vidéo non déclarée, un salarié sanctionné, une entreprise qui défend sa sécurité : quand la preuve devient plus forte que la procédure. Un cas concret qui nous en apprend plus sur les limites du contrôle en entreprise. 🛑👁️🗨️
📹💡 Caméras augmentées aux caisses : la CNIL encadre mais n’interdit pas. Usage autorisé sous conditions strictes (RGPD), à ne pas confondre avec la vidéosurveillance algorithmique généralisée, toujours interdite hors cadre légal 🛑📜
🎥✨ Cannes 2025 : un drone policier pour sécuriser la Croisette Pendant le Festival, un seul drone de la police survolera les abords du Palais, dans un cadre légal strict 🛡️📡 Surveillance ponctuelle, périmètre limité, usage encadré. Transparence et proportionnalité au cœur du dispositif.
