Deux caméras posées sans autorisation. Trois mois de fermeture.
Ce n’est pas une hypothèse, c’est un cas bien réel. En quelques lignes, un préfet peut faire tomber le rideau sur un établissement, sans préavis, sans discussion. Et la justice peut entériner la sanction sans sourciller. Quand la vidéoprotection déborde sur la voie publique, le droit ne laisse aucune place à l’improvisation.
Voici pourquoi.