A partir de 41cts €/jour, devenez un EXPERT ! https://www.83-629.fr/membership/

Aller au contenu

Vidéosurveillance algorithmique illégale : Briefcam coûte cher à une commune

Une commune sanctionnée pour l’usage de la vidéosurveillance algorithmique avec le logiciel Briefcam 🛑. Analyse d’images, suivi automatisé : ces technologies promettent sécurité 🔍 mais posent des risques pour les libertés individuelles ⚖️. Découvrez les enjeux d’une surveillance hors cadre légal.

Illustration

La vidéoprotection algorithmique s’installe progressivement dans nos villes, avec la promesse d’une sécurité accrue grâce à des outils de plus en plus performants. Parmi ces technologies, le logiciel Briefcam se distingue par ses capacités avancées d’analyse d’images : reconnaissance de comportements, filtrage par apparence, suivi automatisé. Mais cette évolution soulève une question fondamentale : jusqu’où peut-on aller sans mettre en danger nos libertés individuelles ?

Certaines expériences locales mettent en lumière les dérives potentielles de ces dispositifs. Utilisation discrète, absence de garanties... Quels sont les risques lorsque la technologie dépasse le cadre légal et oublie de protéger la vie privée des citoyens ? La réponse pourrait surprendre.

Une commune condamnée pour usage illégal du logiciel de surveillance Briefcam

Cet article est réservé aux abonnés 💡EXPERT tier

S’abonner

Vous avez déjà un compte? S'identifier

Dernier

Politique de confidentialité Politique relative aux Cookies Conditions Générales