La vidéoprotection algorithmique s’installe progressivement dans nos villes, avec la promesse d’une sécurité accrue grâce à des outils de plus en plus performants. Parmi ces technologies, le logiciel Briefcam se distingue par ses capacités avancées d’analyse d’images : reconnaissance de comportements, filtrage par apparence, suivi automatisé. Mais cette évolution soulève une question fondamentale : jusqu’où peut-on aller sans mettre en danger nos libertés individuelles ?
Certaines expériences locales mettent en lumière les dérives potentielles de ces dispositifs. Utilisation discrète, absence de garanties... Quels sont les risques lorsque la technologie dépasse le cadre légal et oublie de protéger la vie privée des citoyens ? La réponse pourrait surprendre.