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Qui peut traiter une alarme intrusion ? Le cas sensible de Suez Eau France

Suez Eau France gérait des alarmes intrusion depuis un centre de télécontrôle présenté comme technique 🖥️🚨. Mais à partir de quand ce type de mission bascule-t-il dans le champ de la sécurité privée ? 📜⚖️

IMAGE D'ILLUSTRATION

Une entreprise industrielle peut-elle traiter des alarmes intrusion en interne sans basculer dans le champ de la sécurité privée ?
Suez Eau France en était convaincue. Son centre de télécontrôle, présenté comme purement technique, pilotait des installations sensibles, des flux, des risques industriels. Rien, selon elle, qui relève du livre VI du Code de la sécurité intérieure. Pourtant, dès lors que des alarmes intrusion apparaissent sur les écrans, la frontière devient floue. Télégestion ou surveillance ? Support technique ou mission de sécurité ? C’est cette zone grise, très répandue dans les grands groupes industriels, que le dossier Suez Eau France vient interroger frontalement. Une affaire qui oblige à regarder de près ce que font réellement les opérateurs… et ce que le droit qualifie, lui, d’activité de sécurité privée.

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