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SECURITAS dit non à l'ubérisation de la sécurité privée

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Après 18 mois de recherche, Securitas arrive à la conclusion que l’ubérisation dans la sécurité privée n’est pas une voie d’avenir et arrête le projet qui était ouvert. L’ubérisation en sécurité privée est aujourd’hui incompatible avec la recherche de l’excellence opérationnelle affichée par l’entreprise.

Par ubérisation, il faut bien comprendre la mise en relation par la voie d’une plateforme numérique entre la demande d’un client et un prestataire, en l’occurrence un agent de sécurité au statut d’indépendant.

L’ubérisation est incompatible avec le parfait respect des exigences légales définies par les textes et contrôlées par le CNAPS.

Par ailleurs, Securitas ne voit pas comment les fondamentaux opérationnels liés aux missions des agents de sécurité peuvent être assurés dans le cadre de l’ubérisation.

Enfin, les règles du code du travail ne peuvent pas être adaptées sans représenter un risque majeur pour l’entreprise et Securitas ne valide pas les conditions de travail que cela imposerait aux agents de sécurité.

Ce qui est possible techniquement n’est donc pas validé socialement et économiquement.

Par contre, Securitas souhaite utiliser les technologies d’aujourd’hui pour innover et digitaliser ses process, de la relation clients à la gestion de ses opérations.

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