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La descente aux enfers d’un salarié d’une société de sécurité
Par SEZANNE (51). Salarié chez Cynoprotect, une société de sécurité de Sézanne, Nicolas Lepage n’a plus rien pour vivre. Il met en cause les déboires judiciaires de son patron. Pas un seul euro en septembre ; -14,20 € en octobre. Les bulletins de salaire de Nicolas Lepage l’attestent.
🔍 SecuMatch, GettGuard, SeekGuard, MissionSécu… Elles promettent missions rapides et simplicité. Mais sont-elles fiables ? J’ai enquêté 🕵️♂️ : statuts, dirigeants, CA, cadre CNAPS. Résultat 📊 : une seule plateforme coche (vraiment) toutes les cases ✅.
🔍🚢 Inspection visuelle dans les ports : le Conseil constitutionnel valide l’extension de missions pour certains agents privés. Une évolution discrète mais stratégique dans la répartition des pouvoirs entre public et privé. 👮♂️📦
🔒💥 En garde à vue ! Le Jarl, ex-"chef sécu" du 1988, n'avait ni carte pro, ni autorisation. Illégal sur toute la ligne : vidéos à l’appui, interventions sur la voie publique... Le CSI s’applique. Jusqu’à 6 ans de prison en jeu. 🛑⚖️📹
🥊💼 En pleine nuit à Nîmes, un agent de sécurité frappe… le fils d’un juge. Un refus d’entrée qui dégénère, une plainte déposée, et une enquête ouverte pour violences volontaires. Quand un geste de trop peut coûter cher - très cher - à toute une entreprise.
