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BRUXELLES – En raison d’un manque de personnel, le ministère de l’Intérieur n’effectue que très peu de contrôles sur les abus commis dans le secteur de la surveillance et du gardiennage, écrit le quotidien De Tijd jeudi. Selon des chiffres que le journal a pu consulter, il n’y a eu l’an dernier que 249 contrôles, contre 450 un an auparavant.
Bien qu’une loi impose depuis 1990 des règles plus strictes au secteur du gardiennage, les entreprises illégales de surveillance, les agents de gardiennage non-formés, le travail au noir et autres comportements de «cow-boy» n’appartiennent toutefois pas encore au passé.
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